Semaine 280/87 - Week-end Obispo

14 - 20/04/2014

Oui, je sais ami lecteur, je mériterai de sortir après cette vanne plus que pourrie, mais tu n'aurais pas le privilège de voir nos petites douceurs partir à la recherche des oeufs de Pâques dans les jardins... Je rédige l'article, je te laisse le lire, et promis, après, je m'en vais!

Bref... Avant que les cloches (ou les lapins, je ne sais plus, on est un peu perdu dans toutes ces traditions) ne viennent déposer les oeufs dans l'herbe fraîche (oui, ça fait quand même plusieurs années de suite que l'écharpe et le manteau fourré sont indispensables à la chasse... damned!), une petite pensée pour Marraine/Tata Mélanie, qui ne pourra malheureusement pas engloutir sa ration annuelle de Shoko-bons pour cause d'hospitalisation (et puisqu'il ne faut pas gâcher, je les mangerai en pensant à toi belle-soeurette). Cliché pris sur le vif, pendant que j'ai les deux filles sous la main, pas trop distantes l'une de l'autre, et envoyé sur le portable de Marraine/Tata:

L'avant dernière période scolaire touche à sa fin et les filles testent déjà les jouets qui pourront être utilisés pour meubler les longues journées qui s'annoncent:

Loupiote pouponne tandis qu'Anaëlle préfère se la jouer "constructeur de l'extrème":

[Anaëlle] C'est un grand habitement!

Et pour ne pas que Marraine s'ennuie de trop dans sa chambre d'hôpital, chacune de nos douceurs lui envoie un message personnel:

Anaëlle souhaite lui montrer le chouette cadeau fait par notre convalescente elle-même mais que la miss n'avait pas encore pu essayer:

Eloïse, quant à elle, compatit au régime "sans Kinder" de sa tante:

(Une tête qui doit certainement vouloir dire: "Moi non plus, j'y ai pas droit aux Shokobons... snif")

Mais les gros oeufs, c'est pas interdit pour la demoiselle, qui s'empresse alors de suivre son ainée dans une quête chocolatée fulgurante (d'où la pauvreté quantitative des photos suivantes: en moins de 5 minutes, tous les cadeaux déposés dans le jardin avaient été trouvés. J'ai même dû tricher un peu et faire reposer quelques oeufs pour ne pas me faire huer par toi, ami lecteur, pour une nouvelle semaine pauvre en clichés).

Première partie des recherches dans le jardin familial:

Seconde partie de la collecte dans le jardin de Papy Pique et Mamie Dada. Les filles sont toujours au taquet! Pas moyen de leur demander de pauser 2 secondes pour un souvenir sororal (la définition ici), les yeux divergent à la recherche du graal...

Un instant de questionnement, de suspicion de la part de Numérobis à la vue du gallinacé déambulant dans la cour... Les oeufs pourquoi pas, mais les pièces en chocolat??!

La récolte fut encore abondante cette année! Les cloches ont été bien généreuses (que les personnes concernées n'y voit en aucun cas un quelconque sous-entendu grossier de ma part, bien entendu!) et c'est avec une grande hâte que je m'en vais me goinfrer sustenter de quelques miettes chocolatées avec nos deux douceurs...

PS: Ne sachant pas te laisser dans l'ignorance ami lecteur, et donc, après quelques fructueuses recherches sur internet, j'ai pu glaner quelques informations quant aux différentes alternatives pascales:

L'origine du lapin de Pâques viendrait d'une légende allemande dans laquelle une femme pauvre, ne pouvant offrir de douceurs à ses enfants, décora des œufs qu'elle cacha dans le jardin. Les enfants, apercevant un lapin, crurent que celui-ci avait pondu les œufs (Mouahaha, qu'est-ce qu'ils peuvent être crédules ces gosses!). Depuis lors, les enfants fabriquèrent un nid qu'ils mettaient dans le jardin en espérant que le lapin de Pâques le remplirait d'œufs durant la nuit. (C'est meuuuuuuuugnon!). Le lapin de Pâques est parfois remplacé par d'autres messagers: dans certaines régions de France les œufs sont apportés par les cloches de Pâques de retour de Rome après la Semaine sainte.

Sur ce, je me retire afin de méditer sur la médiocrité de mes jeux de mots...